La négativation électrique

littoral
C’est une méthode qui consiste à redonner aux cellules les charges négatives qu’elles ont perdues, comme cela peut être le cas dans certaines pathologies : maladies dégénératives, affections cardiovasculaires, arthroses, états cancéreux, etc.

Les ions négatifs, comme nombre d’autres choses (vitamine C, oméga 3…), sont indispensables à la vie. Nos corps sont formés d’électrons de charge négative groupés autour de noyaux de charge positive qui retiennent ces mêmes électrons, lesquels gravitent autour des noyaux et peuvent même y échapper.
Ainsi les chocs d’origine physique et psychologique ont pour effet une charge positive. Cependant, le système nerveux a pour but d’adapter l’organisme à ces chocs, tant qu’un certain seuil n’est pas dépassé. Lors d’un choc, il se produit un phénomène d’oxydation, c’est-à-dire que la charge positive d’un ion s’abaisse alors que sa charge positive augmente. De ces surcharges naissent des déséquilibres qui se répercutent sur l’ensemble des rythmes biologiques : cadence du pouls, fréquence respiratoire, rythmes menstruels, etc.
Un être humain en bonne santé est électrisé négativement. Que survienne un choc ainsi qu’une pathologie associée, et cet être humain perdra des ions et sera donc électrisé positivement. Afin de regagner des ions, il est donc bon de s’ioniser. Comment ? Il existe des moyens simples. Avant tout, quelques chiffres.

Pour 3 000 à 4 000 ions au cm3 en montagne, on en trouve :

  • 1 000 à 2 000 au cm3 à la campagne,
  • 150 à 450 au cm3 en ville,
  • 50 à 60 au cm3 dans un local fermé.

Nous constatons qu’une pièce close en milieu urbain est peu propice à une ionisation. En revanche, l’atmosphère montagnarde est riche en ions aériens. Un grand bol d’air de montagne (et donc d’ions) permet à l’organisme de se charger négativement (les adeptes des randonnées en moyenne et haute montagne sauront de quoi je parle). Si la montagne n’est pas accessible, reste la campagne. Si possible y effectuer des balades pieds nus à même la terre ou l’herbe, quand il y a encore de la rosée, c’est un bon moyen de recharger les batteries. La lampe à sel est, elle aussi, un bon moyen d’ioniser l’atmosphère pour les citadins ne pouvant pas forcément se déplacer à la campagne. Enfin, les personnes vivant en bordure maritime auront tout intérêt de se promener le long des côtes. En effet, l’air marin est lui aussi riche en ions négatifs.

Non seulement, mettre le nez en dehors de chez soi est un bon moyen de prendre l’air et les ions qu’il contient, mais cela permet également d’échapper aux germes qui y pullulent. Les quelques données chiffrées suivantes devraient permettre de s’en aviser. Quand on compte 5 germes bactériens au m3 dans la forêt de Fontainebleau, on en trouve :

  • 20 000 au m3 dans un appartement parisien,
  • 9 millions au m3 dans un grand magasin,
  • Une quantité encore bien supérieure dans un grand hôpital…

Pendant que vous ferez un tour à la campagne toute proche, profitez-en pour diffuser (en toute sécurité s’entend) quelques huiles essentielles qui assainiront votre intérieur, chose appréciable à votre retour. On optera pour des huiles essentielles telles qu’eucalyptus (globuleux, radié), pin sylvestre, sapin baumier, épinette, lavande fine, ravintsara, citron, etc. Pour compléter l’action du diffuseur, on pourra nébuliser ces mêmes huiles essentielles à l’aide d’un vaporisateur sur les rideaux, les coussins, les tapis, les moquettes, etc. Ça sent bon et ça tue les germes. Pas belle la vie ? Et que ceux qui imaginent que rester claquemurer pour échapper à un vilain microbe se détrompent…

© Books of Dante – 2014

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